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Droits bafoués, régression des libertés: en Tunisie, les femmes manifestent leur colère

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Droits bafoués, régression des libertés: en Tunisie, les femmes manifestent leur colère

Source: RFI

Pour Sana Ghenima, de l’association Femmes et Leadership, l’heure n’est pas à la fête. « C’est pas une fête, c’est clair, c’est une contestation. On est là pour faire valoir les droits des Tunisiennes et pour faire valoir l’État de droit surtout. Les femmes sont en prison, les militantes sont en prison, les libertés sont en recul et la représentativité des femmes et leurs droits sont menacés. »

En Tunisie, en l’espace de trois ans, plusieurs femmes politiques, journalistes, et militantes associatives ont été arrêtées et emprisonnées dans le coup de filet qui a touché des dizaines d’opposants au pouvoir et de voix critiques. Parmi les plus connues, Sonia Dahmani avocate et chroniqueuse ou encore Abir Moussi, présidente du Parti destourien libre…

Pour Asrar Ben Jouira, militante féministe et présidente de l’association Intersection qui a publié récemment un rapport accablant sur la régression des libertés publiques, ces arrestations sont les marqueurs d’une régression. « Quand on voit toutes les femmes victimes d’injustice qui sont arrêtées pour leurs opinions, on comprend pourquoi la place de la femme régresse, que ce soit dans les postes de décision ou même de gouvernance. »

Cliquez ici pour lire l'article complet publié par RFI le 14 août 2024.

Source image: RFI

 

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Pour Sana Ghenima, de l’association Femmes et Leadership, l’heure n’est pas à la fête. « C’est pas une fête, c’est clair, c’est une contestation. On est là pour faire valoir les droits des Tunisiennes et pour faire valoir l’État de droit surtout. Les femmes sont en prison, les militantes sont en prison, les libertés sont en recul et la représentativité des femmes et leurs droits sont menacés. »

En Tunisie, en l’espace de trois ans, plusieurs femmes politiques, journalistes, et militantes associatives ont été arrêtées et emprisonnées dans le coup de filet qui a touché des dizaines d’opposants au pouvoir et de voix critiques. Parmi les plus connues, Sonia Dahmani avocate et chroniqueuse ou encore Abir Moussi, présidente du Parti destourien libre…

Pour Asrar Ben Jouira, militante féministe et présidente de l’association Intersection qui a publié récemment un rapport accablant sur la régression des libertés publiques, ces arrestations sont les marqueurs d’une régression. « Quand on voit toutes les femmes victimes d’injustice qui sont arrêtées pour leurs opinions, on comprend pourquoi la place de la femme régresse, que ce soit dans les postes de décision ou même de gouvernance. »

Cliquez ici pour lire l'article complet publié par RFI le 14 août 2024.

Source image: RFI

 

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